14.02.2019

Un bref aperçu de l'industrie de la confiserie en France

La capacité du marché de la confiserie en France est de 1,5 milliard d'euros. En termes physiques - environ 2 200 000 tonnes. Le marché de la confiserie est divisé en deux segments principaux - la confiserie de sucre et la confiserie de farine. Une part importante du volume total du marché est occupée par le segment des produits de confiserie à base de farine (55 %).

Croissance du marché en 2014 s'élevait à 5,43 %. Prévision de croissance pour 2013-2015 : 4,8 %, 4,4 % et 3,1 % respectivement.

Le segment le plus volumineux du marché de la confiserie est celui des "bonbons glacés au chocolat" (21 %), un cinquième du marché est le segment à la croissance la plus rapide (environ 7 % par an) des "biscuits". 8% du marché est occupé par les segments "chocolaterie et produits chocolatés" et "gâteaux et pâtisseries". Les 43 % restants du marché appartiennent à d'autres segments de produits de confiserie sucrés et à base de farine avec des parts plus petites : produits à base de fruits et de baies, caramel, poudre de cacao, pâtisseries, gaufres, muffins, caramel au beurre, halva.

Le niveau actuel des marges sur le marché : marge du producteur de matières premières 15 %, marge de l'usine de transformation des matières premières 15 %, marge du producteur 16 %, marge du réseau de distribution 30 %.

Le leader absolu de la production de confiserie est la Nouvelle-Aquitaine. En 2014, 22 % de la production française totale de confiserie était produite sur son territoire. L'Ile-de-France dans cette structure prend la deuxième place (15%). La part du Grand Est était de plus de 12%, l'Occitanie de - 10,5%.

Les principales entreprises françaises de confiserie en France sont :

• Détention "___" (___, ___, ___) : 16 % de part de marché ;
• "___" (Ile-de-France) - 15 % ;
• Groupe "___" - 14,7 % ;
• "___" (___) -5,8 % ;
• "___" (___) - 4,3 % ;
• Autres fabricants : 44,2 % (parmi les entreprises régionales, le groupe "___" affiche la croissance la plus active).

La part des produits importés sur le marché français de la confiserie n'est que de 12 %. En 2014, les importations de confiseries n'ont augmenté que de 1 %.

Pour réussir sur le marché, la capacité des confiseurs à lancer régulièrement des types de produits fondamentalement nouveaux ou modifiés est d'une grande importance. De plus en plus de consommateurs préfèrent de nouveaux types de confiseries préparées sans additifs ni colorants artificiels.

L'évaluation du marché a été réalisée sur la base des données disponibles sur la capacité et le niveau de la dernière croissance annuelle du marché, la marginalité moyenne, le niveau de monopolisation du marché (part totale des acteurs du marché TOP-5).< /p>

Le coefficient d'attractivité a le système de calcul suivant :

• Capacité de marché élevée, ajustée de la part dans le coût des composants importés en France (facteur de pondération de 84 % );
• Faible niveau de monopolisation du marché (part totale du TOP-5) (coefficient de pondération 10 % );
• Marge moyenne élevée prévalant sur le marché (facteur de pondération 3 % );
• Les taux de croissance élevés du marché sont supérieurs à l'inflation (facteur de pondération de 2 %).
• La part de la partie centrale de la France (y compris Paris) dans la production est supérieure à la part de cette partie de la France dans le PIB (facteur de pondération 1 %)

Des mises à jour sur ce marché et d'autres peuvent être demandées à l'agence de recherche BCGroup: bcgroup-research.fr